13 avril 2017
51 Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons transformés, 52 en un instant, en un clin d’oeil, au son de la dernière trompette. La trompette sonnera, alors les morts ressusciteront incorruptibles et nous, nous serons transformés. 53 Il faut en effet que ce corps corruptible revête l’incorruptibilité et que ce corps mortel revête l’immortalité.
54 Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira cette parole de l’Ecriture: La mort a été engloutie dans la victoire. 55 Mort, où est ton aiguillon? Enfer, où est ta victoire? 56 L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et ce qui donne sa puissance au péché, c’est la loi. 57 Mais que Dieu soit remercié, lui qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!

58 Ainsi, mes frères et soeurs bien-aimés, soyez fermes, inébranlables. Travaillez de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas sans résultat dans le Seigneur.

LOUIS SEGOND 21

commentaire

Savais-tu que le mot atome se trouve dans le N.T. ? Paul utilise ce mot pour illustrer le fait que la transmutation des corps terrestres de ceux qui sont en Christ, en corps glorieux, sera instantanée, à son retour. Les films de théologie-fiction décrivent un enlèvement instantané ; mais non, c’est la résurrection des chrétiens morts, et le changement des chrétiens vivants qui s’accomplit en un clin d’œil. L’enlèvement quant à lui, se déroule suivant le scénario décrit en 1 Thessaloniciens 4.15. Plusieurs prédicateurs ont souvent voulu l’utiliser pour effrayer leurs auditeurs : vous allez être laissés derrière ! Mais ni Paul, ni les autres apôtres n’agissent ainsi. Aux non-chrétiens, ils annoncent l’Évangile ; et aux chrétiens, ils rappellent la nécessité de la sanctification. Ici Paul encourage les Corinthiens à progresser dans leur marche quotidienne avec le Seigneur, en attendant le moment sublime où il transformera leur corps. Alors, as-tu peur de l’enlèvement, ou bien l’espères-tu ?