20 août 2017
1 Bien-aimés, voici déjà la deuxième lettre que je vous écris. Dans l’une et dans l’autre je fais appel à vos souvenirs pour éveiller en vous une saine intelligence, 2 afin que vous vous rappeliez les paroles prononcées autrefois par les saints prophètes ainsi que le commandement du Seigneur et Sauveur enseigné par vos apôtres.
3 Sachez avant tout que *dans les derniers jours viendront des moqueurs [pleins de raillerie]. Ces hommes vivront en suivant leurs propres désirs 4 et diront: «Où est la promesse de son retour? En effet, depuis que nos ancêtres sont morts, tout reste dans le même état qu’au début de la création.» 5 De fait, ils veulent ignorer que des cieux ont existé autrefois par la parole de Dieu, ainsi qu’une terre tirée des eaux et au milieu d’elles. 6 Ils oublient volontairement que le monde d’alors a disparu de la même manière, submergé par l’eau.
LOUIS SEGOND 21

commentaire

Imagine… Comme chaque matin, tu te lèves, tu embrasses tes parents, tes frères, tes sœurs (c’est important l’affection dans une famille !). Tu prends ton petit-déjeuner, comme chaque matin (c’est important aussi). Pourtant ce soir-là, tu ne rentreras pas chez toi, tu iras directement dans la maison du Père, car Christ est venu te chercher. C’est étrange non ? Ça l’est tellement que beaucoup de personnes trouvent idiot d’y croire. 2000 ans, pour une promesse non tenue… autant dire que Dieu a oublié.

Jésus a prévenu que son retour se passerait comme au temps de Noé (Matthieu 24.37) : une vie insouciante et égoïste… Dieu ferme la porte de l’arche sur la famille de Noé qu’il veut sauver tandis que le monde et ses habitants meurent noyés. Ainsi, « le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit » (1 Thessaloniciens 5.2). C’est pourquoi Jésus nous dit : « Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure ». En attendant, accroche-toi à Christ, parle de son salut, tant pis si tu passes pour fou(folle) (1 Corinthiens 2.14).