19 octobre 2018
49 Souviens-toi de ta promesse à ton serviteur, puisque tu m’as donné l’espérance! 50 C’est ma consolation dans ma misère, car ta promesse me rend la vie. 51 Des hommes arrogants m’accablent de moqueries, mais je ne m’écarte pas de ta loi. 52 Je me souviens de tes sentences passées, Eternel, et c’est ce qui me console. 53 Une colère ardente s’empare de moi à cause des méchants qui abandonnent ta loi. 54 Tes prescriptions sont le sujet de mes chants dans la maison où je suis étranger. 55 La nuit je me rappelle ton nom, Eternel, et je respecte ta loi. 56 La part qui me revient, c’est de garder tes décrets.

LOUIS SEGOND 21

commentaire

Quand nous parlons d’espérance aujourd’hui, nous sommes vite arrêtés par des « peut-être », des « si » ou encore des « avant c’était mieux »… Mais la promesse divine, elle, nous console, nous rassure, nous donne la vraie espérance dans laquelle je ne suis et ne serai pas déçu. Les jugements de Dieu sont immuables, ils ne changent pas. Les attributs de Dieu poussent à l’admiration et à la louange. Nous ne pouvons qu’exprimer notre joie, nous ne pouvons pas la contenir. La vue du méchant et de ses œuvres nous exaspère, comment peut-il s’écarter du droit chemin, de ce qui est bien ? Aux heures sombres de la nuit, alors que d’autres désespèrent, je me rappelle la Parole de Dieu, je me rappelle et me confie en ses promesses. As-tu si peu d’espérance, au point d’abandonner ta confiance en Dieu ? Mon ami(e), les nuages et les tempêtes de la vie peuvent te cacher le soleil de Dieu. Il continue de briller, ne l’oublie pas et il veut te réchauffer de ses rayons. Les méchants et les orgueilleux n’y peuvent rien. J.R.